

Lundi 22 septembre 2025, l’ONU a ouvert sa 80ᵉ Assemblée générale à New York, célébrant quatre-vingts ans d’existence. Pour les Congolais, cette session est une occasion majeure d’espérer un engagement international plus ferme en matière de paix et de sécurité, alors que la RDC fait face à des conflits persistants et à l’instabilité régionale. Le Secrétaire général António Guterres a rappelé que l’unité des nations est la seule voie possible pour surmonter les divisions mondiales.
La lutte contre la pauvreté et la faim reste au cœur des attentes. Avec des populations encore confrontées à des crises humanitaires, les Congolais espèrent que les décisions de l’Assemblée favoriseront un soutien concret aux programmes de développement durable, à l’éducation et à la santé. Le constat de Guterres sur le recul des progrès dans ces domaines fait résonner leurs besoins urgents et réels.
Le changement climatique et ses conséquences dramatiques mobilisent également l’attention. Entre inondations, déforestation et catastrophes naturelles, les Congolais attendent des mesures concrètes pour protéger l’environnement et renforcer la résilience des communautés vulnérables, conformément aux initiatives mondiales de l’ONU.
Enfin, face à un monde multipolaire, les Congolais souhaitent voir l’ONU renforcer ses institutions et sa capacité d’intervention. Les programmes ONU80 et le Programme 2030 sont perçus comme des instruments essentiels pour maintenir la légitimité de l’organisation et garantir sa contribution efficace à la paix, la sécurité et au développement durable, au-delà des frontières nationales.
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