Contre des faits divers isolés certes mais très relayés dans les réseaux sociaux comme un spectacle , les autorités chinoises très inquiètes , ont pris des mesures sévères en traquant sur les réseaux sociaux et sites d’information en ligne tout suspect contrevenant comme devant un danger imminent. En effet, depuis l’année dernière, la Chine est la proie d’une série d’attaques à la voiture-bélier. Ce qui ne peut que perturber les cadres du Parti communiste chinois (PCC) que l’on sait très dirigiste. En rappel des faits , le 26 juin dernier , un conducteur a percuté et blessé plusieurs personnes aux abords d’une école de Pékin, et par la suite ,,juste un mois après un événement semblable est survenu dans le centre de la capitale. Le 4 mai, six personnes étaient mortes, fauchées à proximité d’un arrêt de bus de la ville de Tengzhou (Est). Il a fallu à la police plus de 48 heures pour dresser un bilan, assurant que le conducteur était ivre et n’avait pas agi délibérément. Le soir même, les vidéos de l’attaque ont été relayées sur les réseaux sociaux . Avec ce genre d’événements visant à créer la panique sinon une psychose , il ya de quoi prendre des mesures de surveillance très poussées. C’est ce que fait Pékin. Mais qui pourrait être derrière ces opérations meurtrières quand on sait le niveau de surtveillance dans ce pays. La Chine qui se sait dans le collimateur de ceux qui veulent sa chute depuis assez longtemps est très fébrile sur la question de sa sécurité. Et que s’agissant de la déstabilisation du régime comme cela se fait contre l’Iran, Pékin en sait bien plus .Ce modus operandi a toujours été utilisé par ses adversaires qui emploient des personnes recrutées sur place . Et avec une population de 1,846 millions, ça pourrait devenir ingérable.

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Leobanem Bolenge-Ngbanzo

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