

Un drame bouleversant secoue l’avenue Funu 1er à Bukavu, où un incendie dévastateur a ravagé des vies et des foyers.
Depuis cet après-midi tragique du lundi 4 août 2025, l’angoisse grandit autour d’un enfant toujours porté disparu, symbole poignant de cette catastrophe. La douleur des familles sinistrées résonne dans chaque ruelle de Mosala, tandis que les cendres recouvrent les souvenirs et les espoirs brisés.
Les flammes, impitoyables et déchaînées, ont consumé plus que des biens matériels : elles ont détruit la sécurité et la sérénité de plus de 100 ménages désormais livrés à eux-mêmes.
Moussa Kandeke, chef adjoint de l’avenue Funu 1er, témoigne d’une scène de désolation intense, où les blessés se comptent et où les cris de détresse se mêlent au silence pesant des abris détruits. La peur et la vulnérabilité s’installent, exacerbées par l’absence d’une assistance urgente et adaptée.
L’origine de ce sinistre soulève une profonde tristesse : un feu allumé innocemment sur un brasero par des enfants, seuls et livrés à eux-mêmes, a déclenché l’enfer.
Ce drame met en lumière la précarité et la fragilité de ces familles, mais aussi la nécessité impérieuse d’une solidarité collective. Moussa Kandeke dénonce avec force le vol éhonté de certains biens sauvés par des jeunes volontaires, trahissant la confiance et l’espoir des rescapés.
Face à cette tragédie humaine, l’appel à l’aide devient un cri vibrant d’urgence. Il est indispensable que la communauté, les autorités et les organisations humanitaires se mobilisent sans délai pour offrir secours, réconfort et reconstruction.
Les sinistrés de l’avenue Funu 1er ont besoin d’un élan de solidarité puissant, pour renaître de leurs cendres et retrouver la dignité et la sécurité qui leur ont été arrachées.
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