#DETENTE DE WEEK-END

éditeur

(jouez avec nous ! envoyez-nous vos jeux, vos histoires pour publication   pour plus de joie)

#Devinettes :

1- je suis une maison , j’ai un toît et une seule colonne , -qui suis-je ?

2-je n’ai pas de maison , je dors partout où la nuit me trouve , mais je ne suis pas sdf –qui suis-je?

3-je donne à tout le monde sans distinction , je ne suis jamais triste , qui suis-je

#HUMOUR:

-Promesse Express, livraison jamais arrivée !

Mesdames et Messieurs, savez-vous que nos politiciens sont de vrais champions du livraison jamais arrivée ? Eux, ils promettent mais sans service après-vente. “Demain, vous aurez des routes flambant neuves !” … Oui, mais demain de quelle année ? Parce que là, même les vaches commencent à apprendre à nager dans nos flaques !

Un politicien congolais, c’est comme un papa qui dit à son fils : “Travaille bien à l’école, je t’achète un vélo !” Dix ans plus tard, le fils a déjà trois enfants… et toujours pas de vélo ! Mais le papa-politicien, lui, continue : “Courage mon fils, bientôt tu auras même une moto !”

Et quand ils promettent des hôpitaux modernes, waah ! On dirait qu’ils veulent construire un “CHU de Hollywood” : scanners partout, robots chirurgiens… Mais au final, toi, tu arrives malade et le médecin te prescrit… du repos et du thé au citron. Là tu comprends que le seul appareil qui marche dans l’hôpital, c’est le ventilateur qui fait “tuuuuuuuu” !

Sans oublier leurs promesses d’emploi ! “Chaque jeune aura du travail !” Oui, ils ont tenu parole : aujourd’hui chaque jeune travaille… comme chômeur professionnel ! Carte de membre, expérience illimitée, spécialisation en attente de miracle !

Alors, chers amis, la prochaine fois qu’un politicien vous dit : “Votez pour moi, demain vous vivrez au paradis”, répondez-lui calmement : “Commencez par me donner un trottoir sec, après on parlera du paradis !” Parce qu’entre nous, même Jésus, quand il reviendra, il va demander : “Mais les routes, elles sont où ?”

-Un bidon plein, un gosier vide !

Il n’y a qu’en Afrique où l’on peut voir des foules réclamer à cor et à cri de l’eau potable aux sociétés de distribution, scandant fièrement : “L’eau c’est la vie !”. Pourtant, une fois l’eau arrivée, miracle ! Personne ne veut en boire plus d’un demi-verre. Les bidons sont pleins, mais les gosiers restent secs.

Les médecins, eux, rappellent qu’il faut au moins un litre par jour pour rester en bonne santé. Mais visiblement, chez nous, le litre est réservé aux voitures pour le carburant, pas aux humains pour la survie. Boire de l’eau est devenu une option, presque un luxe… alors qu’on passe son temps à la mendier.

Finalement, on dirait que “l’eau c’est la vie”… mais seulement pour arroser le jardin, laver la moto ou remplir les casseroles. Pour le corps, apparemment, le peuple préfère miser sur les sodas, la bière et les jus sucrés. Parce qu’entre nous, un litre d’eau par jour, ça fait trop sérieux, trop médical, pas assez “fun” !

-#CULTURE GENERALE:

Quels sont les anciens noms de:

Commune de Lingwala commune de Kasa-Vubu commune de Kamalondo	quartier Matonge quartier Kauka
-ville de Kalemie -ville de Mbuji-Mayi -ville de Bandundu -ville de Moba -ville de Bukavu -ville de Butare -ville de Moba -ville de Mbandaka ville de Kisangani ville de Likasi ville d’Isiro ville de Mbanza-Ngungu ville de Bujumbura	ZAMBIE ZIMBABWE GHANA BENIN BURKINA FASO TANZANIE BURUINDI
DEMOGRAPHIE DES VILLES DE LA RDC :

#LES CONNAISSEZ-VOUS?

Le sketch d’André Maboke à la radio avec mama Ewaso Cathérine. , Mambrikoko, Molangi ya pembe Decleck, Epanza makita, Dza moke , une flopée de personnages!

#LES MOTS DES AUTRES

#A propos du peuple
-Malheur à ceux qui bâillonnent le peuple. (Thomas Sankara)
-Un peuple qui a peur est un peuple qui est dominé. (Roch Carrier)
-Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns et l’eau potable pour tous. (Thomas Sankara)
-Un peuple de moutons finit par engendrer un gouvernement de loups. (Agatha Christie)
-Un peuple ignorant de son histoire est comme un arbre sans racines. (Marcus Garvey)
-Promettez beaucoup , tenez peu (Le Prince de Macchiavel)
-Il faut que l’école nouvelle et l’enseignement nouveau concourent à la naissance de patriotes et non d’apatrides. ((Thomas Sankara)
-La colonisation n’est ni humanisme ni charité mais de l’exploitation et de la domination au bas mot (Leobanem BN)

# 4 PROVERBES MONGO
1. Bonenge okoikyaki la nzala, nda lisala, ntokote. (–L’arbre qui vou a sauvé de la famine durant la disette, ne l’abattez pas en sarclant votre champ.
2. Ntakundak’inkuni okoka’okoli (–On ne frappe pas un enfant qui vous a donné un bandeau sous forme de ficelle et qui vous a aidé.)
3. Bolemo lofoso, okamba ia we afea. (–En faisant beaucoup de bruit durant le travail, celui qui vous assiste ne saura pas sa contribution.)
4. Loembele ntokaka nkang’oonju isei. (Un moustique n’a pas pitié d’une personne maigre , Un oppresseur n’a pas pitié d’un pauvre.)

Thomas Kanza (né le 10 octobre 1933 et mort le 25 octobre 2004 à Oxford, en Angleterre^[1]) est un homme politique, diplomate et écrivain du Congo-Kinshasa, membre du Gouvernement Lumumba^[2]. Il fut le premier universitaire congolais diplômé en Belgique. Il est le fils de Daniel Kanza et frère de Sophie Lihau-Kanza.

Biographie (wikipedia)

Thomas Kanza est né en 1933 à Boende, dans la province de l’Équateur en République démocratique du Congo. Il est le premier laïque congolais à obtenir un diplôme universitaire en Belgique. C’est au milieu des années 1950 qu’il décide de s’engager activement dans la vie politique et culturelle du Congo. Il publie quelques essais dont «Congo, pays de deux évolués», qui viendra renforcer son engagement en politique. En 1956, il rejoint l’ABAKO (Associations de Bakongo) ainsi que la rédaction du journal Congo. Il fait partie de la délégation des élites invités à la Table ronde à Bruxelles en 1959, pour négocier les modalités de l’indépendance. En 1960, il entre au gouvernement Lumumba. Il fait alliance avec Antoine Gizenga en 1961. Il occupera le poste d’ambassadeur du Congo à Londres de 1962 à 1963 avant de rejoindre la Rébellion Simba aux côtés de Christophe Gbenye et Gaston Soumialot. C’est après cette mésaventure qu’il publiera en 1965, « Sans Rancune ».

Il a été ambassadeur de la République démocratique du Congo en Suède^[3]. Il a également un temps fait partie du Gouvernement Laurent-Désiré Kabila (1997) en tant que Ministre de la Coopération internationale, Ministre du travail (1998).